Un soleil réfractaire, des débats de société qui n'en finissent pas de me faire sombrer dans une misanthropie plus sombre de jour en jour... L'année 2013 remplit toute ses promesses de médiocrité, mais c'est sans compter sur les mecs de Burger records qui ont eu la bonne idée de compiler tous les morceaux de The Hound of love, projet récréatif du débilos Jeans Wilder.
Dans un premier temps je tiens à dénoncer la récidive, il nous avait déjà fait le coup en 2012 avec son groupe Mean Jeans pour la sortie de « From Mars » qui avait ensoleillé nos soirées pluvieuses, mis les bières au frais et raccourcir les jupes avant l'heure.
Bon, la cassette éditée par Burger rc est désormais sold out, mais c'est à notre plus grande joie que l'ensemble des titres sont dispos sur le bandcamp du jeune homme.
Dans un premier temps je tiens à dénoncer la récidive, il nous avait déjà fait le coup en 2012 avec son groupe Mean Jeans pour la sortie de « From Mars » qui avait ensoleillé nos soirées pluvieuses, mis les bières au frais et raccourcir les jupes avant l'heure.
Bon, la cassette éditée par Burger rc est désormais sold out, mais c'est à notre plus grande joie que l'ensemble des titres sont dispos sur le bandcamp du jeune homme.
A la première écoute de cette discographie j'ai eu l'impression de boire un pepsi avec Bob Saget, tout en jouant à « California Game » sur SEGA, ce « Careful Houndy » est un vaste mélange de pop 80, de punk rock, et des BO des films à la con diffusés sur La Cinq quand nous étions gosses. En effet la touch' 80's est plus qu'évidente, le nom du projet fait lui même référence à un morceau de Kate Bush.
Même si il s'agit de prime abord d'une musique « récréative », le travail des textures de son et de instrumentalisation n'est en mon sens pas à lésiner. Ce qui peut ressembler à un grand bordel musical organisé n'en est pas un, et quelques boucles de chants viennent de temps en temps rajouter une certaine contenance aux titres. Ca qui nous donne l'occaz de fredonner nonchalamment comme nous le faisions à l'arrière de la voiture de nos parents sur la route des vacances.
Même si il s'agit de prime abord d'une musique « récréative », le travail des textures de son et de instrumentalisation n'est en mon sens pas à lésiner. Ce qui peut ressembler à un grand bordel musical organisé n'en est pas un, et quelques boucles de chants viennent de temps en temps rajouter une certaine contenance aux titres. Ca qui nous donne l'occaz de fredonner nonchalamment comme nous le faisions à l'arrière de la voiture de nos parents sur la route des vacances.
Ce n'est sans doute pas la compil de l'année (j'adore ce mot, doux rappel pavlovien des dance machine sans doute), mais c'est cependant la douce chaleur du printemps fun bubblegum qui nous manquait.
